Les êtres et les choses


Si tu réalises, non sans une certaine amertume, que tu ne fais pas nécessairement partie de ceux qui font bouger les choses pour changer positivement le cours de l’histoire dans le monde, ta vie sur terre n’est peut-être pas tout à fait un fiasco. Seulement voici ce qui pourrait en faire un véritable gâchis: si tu te rends (ou pas) compte que tu n’es même pas de ceux qui bougent pour changer le cours de leu propre histoire. Car, au cas où tu l’ignores toujours, seules les choses inanimées sont inertes; l’humain, lui, est par définition un être animé. Qui veut dire: l’humain, une espèce dont tu fais probablement partie, est un être d’action. Tout comme la fourmi d’ailleurs.

M.C.

3 Replies to “Les êtres et les choses”

  1. Nous avons toujours un impact, même dans l’inertie, dans le refus de juste embarquer dans un jeu que nous savons pipé

    1. Embarquer est un verbe d’action tandis que le jeu est le lieu de l’animation par excellence. C’est pourquoi votre commentaire corroborre l’idée du texte tout en étant l’anthithèse-même de l’inertie évoquée dans le vôtre. Choisir la non-action est anti-productif, semble-t-il 🙂

  2. C’est vrai qu’Il n’y a pas de non-action, Il y a des actions qui minent nos énergies sans donner de résultat . Devant la monté des eaux parfois mieux vaut une digue solide mais passive, qu’un seau.au bout d’un bras.

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